De grands changements se dessinent sur nos territoires. De nouvelles orientations semblent se dégager pour définir l’avenir de tous.
Pour que chacun puisse agir sur ces changements, un seul geste est à réaliser : glisser son enveloppe dans l’urne lors des deux tours des Présidentielles les 10 et 24 avril.

La presse locale a cette faculté de pouvoir relayer l’information de manière rapide et sur un réseau étendu. C’est en ce sens que nous avons répondu fin d’année dernière à la sollicitation de notre correspondante locale au sujet de la désertification médicale. Nous nous réjouissons de cette issue positive pour laquelle chacun a contribué à son niveau.Des élus d’opposition peuvent être de formidables lanceurs d’alerte mais encore faut-il que la majorité en place se saisisse des dossiers.
Cette presse locale a toujours fait son travail d’information : souvenons-nous, il y a presque cinq ans, notre ville apparaissait dans le classement des carrefours les plus dangereux. Ces deux informations n’ont pas été traitées de la même manière par les municipalités en place alors qu’il y avait urgence à agir. Le premier problème a été réglé en quelques semaines par la bonne volonté des différents acteurs concernés. Le second problème a été gentiment laissé à notre équipe en place.
Sur la question du nombre croissant de cas positifs au sein des écoles, il s’agit de la résultante des protocoles sanitaires en place par le Ministère de l’Education Nationale. Il n’appartenait en rien à la collectivité de fermer les écoles, sauf si la sécurité des enfants avait été remise en cause, en raison par exemple de l’absence des agents communaux. La présence de l’Adjoint aux Affaires scolaires auprès du corps enseignant et du Service Jeunesse a donc permis la continuité de l’école.
Et comment nous reprocher dans une même phrase de limiter les contacts entre enfants tout en soulignant le caractère exponentiel du nombre de cas positifs ? Devions-nous risquer toute contamination de nos agents du Service Jeunesse et ainsi de ne pas compter sur leur présence pour la rentrée scolaire ? Il appartient ici à la collectivité, en sa qualité d’employeur, de protéger ses agents.

En moins d’un an, deux accidents se sont produits au croisement de la D165 et de la rue Pasteur, occasionnant des blessures et des dégâts matériels. La fatalité n’existe pas lorsque les accidents se répètent sur un même axe : c’est la raison pour laquelle nous allons travailler début 2022 avec les Services du Département pour identifier des solutions sur ce croisement ainsi que sur celui menant aux Hauts de Meurchin.
Lorsque nous serons amenés à revoir le plan de circulation pour le Carrefour et les rues annexes, devrons-nous reculer devant les aménagements proposés pour améliorer la sécurité de tous si deux cents personnes de Meurchin et de la France entière y opposent une raison de confort à la conduite.
Quant au personnel, un vrai dialogue social existe depuis notre arrivée : réunions régulières avec les représentants du personnel, renforcement de certains services selon nos capacités financières et des besoins repérés par les chefs de service. Autant d’initiatives qui se font raisonnablement, avec prudence et en utilisant les aides au recrutement de l’État pour recruter intelligemment car, s’il fallait encore le rappeler, nous aurions pu renforcer beaucoup de ces services si la gestion financière de la commune avait été saine à notre arrivée.
Etre des élus responsables, c’est être transparents avec la population mais aussi avec les agents qui sont à nos côtés et sans qui la collectivité ne peut fonctionner.

Le Groupe Large Union Expérience et Renouveau adresse à l’ensemble de population Meurchinoise de belles fêtes de fin d’année !

Soyons sérieux !
Comment des élus de la municipalité précédente peuvent nous reprocher le départ du Judo ? Comment, lors de leur mandat, peuvent- ils avoir promis un dojo alors que la commune était en surendettement, suivie par la cour des comptes ?
La baisse des subventions aux associations ? Idem... Comment ne pas les réduire cette année alors que les banques nous refusent un prêt qui était la seule solution pour les financer.
Bien sûr, nous souhaitons aider nos associations : Nous, nous participons à leurs manifestions et AG, sommes à leur écoute pour les aider à monter leurs projets.
Nous travaillons au quotidien pour améliorer la situation financière dramatique qu’ils nous ont laissée : renégociation de l’ensemble des contrats (par exemple des assurances sur des bâtiments disparus..), des abonnements (700 e par mois/5 ans pour un photocopieur qui ne servait pas). Nous allons chercher les subventions, des partenariats, etc. Ce travail est long et ne se voit pas mais nous avons déjà des résultats concrets.
Bien sûr que nous sommes conscients qu’il faut améliorer nos services publics mais cela passe par l’amélioration de nos capacités d’investissement.
Un ménage en surendettement aura des difficultés à acheter une maison, une mairie c’est pareil...
Un Plan Local d’Urbanisme se prépare sur plus de 3 ans, c’est donc ceux qui nous critiquent qui l’ont élaboré à 90%. Nous avons, nous, réduit le nombre de logements de 200 à 80 par rapport à ce qu’ils avaient prévu.
Soyons sérieux !
Nous réfléchissons toujours au bien-être des Meurchinois, sans démagogie, promesse ou dépense que nous ne pouvons réaliser. Tout serait tellement plus facile avec de l’argent, par exemple l’embauche d’agents (le service environnement est passé de 9 à 4 personnes).
N’écoutez-pas les rumeurs et les réseaux sociaux qui souvent n’ont qu’une partie des éléments (en n’intégrant pas les obligations administratives) et n’hésitez pas à solliciter vos élus pour avoir les informations, les bonnes.