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Le bulletin municipal de la ville de Meurchin a été mis en place afin de créer un contact entre le Maire, les élus et les habitants de notre commmune. Il met en exergue l'actualité passée et sert de liant vers les projets d'avenir. Il est distribué gratuitement à toute la population (boîte aux lettres), ou dans les différents lieux publics (mairie, ...) une fois par mois et comprend plusieurs rubriques tout en couleur.

Ce site internet propose un sytème de lecture et téléchargement en ligne des bulletins municipaux. Cliquez sur le magazine de votre choix, puis à l'aide de votre souris ou écran tactile, tournez les pages comme vous le feriez avec un magazine tradictionnelle.
Bonne lecture.
     Certaines personnes ont remonté le temps, laissons leur le mérite de nous présenter leur travail.

     Les informations de cette rubrique sont issues du travail de M. Philippe Dordain qui nous les a confiées généreusement.

     Extrait de la monographie d'histoire locale de Meurchin publiée par M. Serge Picavet en 1980.


     On trouve des traces de Meurchin au VIIème siècle. "Le domaine de Meurchin, propriété royale, fut compris dans les biens considérables que le roi Thiérry III concéda vers 679 à l'Abbaye Saint-Vaast d'Arras, dans l'intention d'apaiser la colère divine, après le meurtre de l'évêque Saint-Léger d'Autun" (dictionnaire historique du Pas-de-Calais).

     "Si le nom de la localité n'est pas exprimé suffisamment dans l'acte de cette libéralité, on le trouve dans les confirmations et ratifications qui en ont été données par le pape Etienne III en 765, par le roi Charles le Chauve en 866, par le roi Eudes en 891 et par le pape Alexandre III en 1169" (Guiman).


     Le nom de MAXTIN ou MAXEIN écrit dans la charte de Thiérry III doit être celui d'une partie d'une dépendance de MEURCHIN. Ce lieu a eu les dénominations suivantes : MARCHEIN en 76, MARCHEIUM en 876, MARCHIN en 1147, MURCHIN en 1664 et MEURCHIN en CAREMBAULT au XVIIème siècle.


     Les Hordes Barbares qui envahirent au Vème siècle notre contrée livrèrent au nord de WiNGLES, au-delà des marais et non loin de LA BASSEE, un sanglant combat contre les Légions Romaines.

C'est à la suite de cela que les localités d'ILLIES, HERLIES, LORGIES, MARQUILLIES prirent leurs noms qui signifiaient dans la langue celtique :"Champ de Malheur"(Illies), "Bornes du Champ de Malheur"(Lorgies), "Détruit et mis aux fers"(Marquillies).


     Une troupe de Saxons, que CHARLEMAGNE envoya dans notre région, commença les premiers grands travaux de défrichement et d'assèchement. Ces travaux ont rendu la FLANDRE prospère aux IXème et Xème siècles.


     En 881, notre région est dévastée par les NORMANDS. Les pilleurs, venus de l'ESCAUT, se déplaçaient sur des barques légères. Ils avaient tout ravagé sur leur passage.

     Quelques une de leurs embarcations remontaient le cours de la DEÛLE qui, d'après certains documents, portait barques et bateaux jusqu'à LENS". (manuscrit de M. Dauchez)
Les pirates du Nord s'arrêtèrent à MEURCHIN et dans les villages environnants, notamment à PONT-A-VENDIN. Les Comtes de BOULOGNE et de LENS firent appel à leurs Vassaux pour lutter, et chasser les NORMANDS qui avaient anéantis THEROUANNE et BOULOGNE.

     "Un évènement considérable, qui semble avoir fait oublier tous les autres à cette époque : ce sont les incursions multiples des pirates du Nord, qui glacèrent d'effroi notre région et forcèrent les habitants terrifiés à chercher refuge dans les forêts et dans les souterrains qu'ils s'étaient creusés en hâte; il en fût ainsi dans le Comté de LENS quand, en 879, les NORMANDS débarquèrent en très grand nombre sur la côte de FLANDRE et vinrent brûler THEROUANNE. Deux ans plus tard, remontant l'ESCREBIEUX, le BOULEURIEUX, l'ENUIN et la DÊULE, ils anéantirent HENIN-LIETARD." (dictionnaire historique du Pas-de-Calais)


     Selon Monsieur Manier (études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du Département du Nord, Paris-Aubry 1861), MASTAING serait la variante de MAXTIN, tiré du cartulaire de SAINT-VAAST, diplôme de THIERRY III (673). Il n'a même pas hésité à dire que dans la mention "IN PAGO, CARIBAUT MAXTIN CUM APPENDITUS", il y avait une erreur évidente, puisque MASTAING n'est pas en CAREMBAULT, mais en OSTREVENT. Heureusement, il a modifié cette opinion quand il a pu avoir sous les yeux le fac-similé du diplôme mal copié et mal lu par l'abbé Van Drival. Comme il le reconnaît, le prétendu X ne ressemble pas à ceux qui figurent dans le même texte. C'est un R, et le T est un C. Sa conclusion est qu'il faut lire MARCIN. "Plusieurs paléographes, dit-il, que j'ai consulté, penchent pour cette opinion. L'un d'eux était d'avis que si l'on pouvait écrire MAXCIN, on lui eût donné la forme MAXIN (C après X n'a pas de raison d'être, X étant déjà équivalent à CC).

     En adoptant MARCIN, tout s'expliquerait facilement : ce serait MEURCHIN EN CAREMBAULT. MARCIN, MARCHEIN indiquent un nom d'homme.

Pour mettre en commun certains efforts et réduire les coûts, l'équipe municipale peut décider de s'associer avec d'autres communes.

Mettant leurs moyens en commun, cette coopération intercommunale permet de gérer ensemble un ou plusieurs services publics ou de financer des équipements importants.

Cette coopération peut revêtir la forme d'un syndicat intercommunal, d'une communauté de communes, d'une communauté d'agglomération...

La municipalité travaille également en étroite collaboration avec :


  •  le Département :
Conseil Départemental du Pas-de-Calais
Rue Ferdinand Buisson
62001 Arras
03.21.21.62.62


  • la Région :
Conseil Régional Hauts de France
Siège de Région
151, Avenue du Président Hoover
59555 Lille Cedex
03.28.82.82.82



Communaute d'Agglomeration de Lens-Liévin

Meurchin baigne au coeur de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin (CALL), un bassin qui compte 252 000 habitants dans l’intercommunalité et 400 000 au niveau de l’agglomération.
Voilà qui fait de ce secteur de la Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin, l’un des plus urbanisés de l’Europe du Nord, avec une densité de 1 060 habitants par km².


Le territoire s’inscrit dans une région marquée par une forte concentration urbaine de plusieurs millions d’habitants (proximité de Lille, Arras, Douai, Béthune...).


De quoi jouer la solidarité intercommunale, car c’est là toute la mission de l’agglomération : s’unir pour gérer ensemble des compétences que seule une commune n’aurait pu assumer.
Dans les domaines où des solutions à l’échelle de la ville ne suffisent plus, la Communauté d’Agglomération répond de façon mieux adaptée aux besoins de la population.


Communaute d'Agglomeration de Lens-Lievin La structure intercommunale qui compte 36 communes, permet de mutualiser les moyens et les ressources pour des projets d’envergure.
L’institution détient quatre compétences obligatoires dévolues à la structure intercommunale dont le développement économique, l’aménagement de l’espace communautaire, l’équilibre social de l’habitat et la politique de la ville.
De plus, les élus ont opté pour trois compétences supplémentaires qui sont l’eau, l’assainissement ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement.


Renseignements

Communauté d’Agglomération de Lens-Liévin
21, rue Marcel Sembat
BP 65 - 62302 LENS Cedex
03.21.790.790
03.21.790.799



SIZIAF de Douvrin

Le Syndicat Mixte SIZIAF gère le Parc des industries Artois-Flandres.

Structure publique, c’est un regroupement de 20 communes chargé de gérer et d’aménager les espaces publics, d’accueillir et de suivre les entreprises du Parc d’activités.

SIZIAF de Douvrin L’équipe technique est composée de 8 personnes, présente sur le Parc des industries Artois-Flandres, et est en charge de :

1. La gestion du Parc

  • Traitement des eaux usées ;
  • Production d’eau potable ;
  • Entretien des espaces verts ;
  • Entretien des voiries ;
  • Eclairage public ;
  • Surveillance du Parc ;
  • Location d’une dizaine de bâtiments.

2. L'aménagement

  • Opérations foncières : acquisitions, réalisation des diagnostics archéologiques, vente de terrains viabilisés ;
  • Promotion et commercialisation du Parc des industries ;
  • Création des extensions du Parc : routes, espaces verts, réseaux.

3. La construction de bâtiments pour les entreprises

Depuis 1985, le SIZIAF a construit plus de 25 bâtiments industriels.


Renseignements

SIZIAF
Parc des industries Artois-Flandres
64 rue Marcel Cabiddu 62138 Douvrin
03.21.086.086
03.21.69.58.00
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.



SIVOM

Le S.I.V.O.M. d'Insertion est un Établissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI).

Il regroupe les communes de Wingles, Vendin-le-Vieil, Pont-à-Vendin, Meurchin, Hulluch et Bénifontaine.

  • Depuis 2007, le SIVOM est labélisé structure d'accueil "Maison de l'emploi" habilité à accueillir des salariés, des chefs d'entreprise...
  • Depuis le 01 juin 2009, le SIVOM possède un référent pour le dispositif R.S.A. (Revenu de Solidarité Active).
  • Depuis le début de l'année 2011, le SIVOM a également en charge le Relais d'Assistantes Maternelles ou R.A.M.

SIVOM Le SIVOM d'insertion est un des acteurs du développement local.
C'est une structure simple et performante qui offre aux collectivités membres, des services à la carte en fédérant leurs actions d'intérêt commun autour de l'emploi, de l'insertion et des populations en difficultés.
Agir efficacement, le plus rapidement et concrètement possible sur l'emploi : tel est l'objectif de l'équipe du SIVOM. N'hésitez donc pas à vous rapprocher de la Directrice. Elle se tient à votre disposition que vous soyez demandeur d'emploi, bénéficiaire ou chef d'entreprise.


Renseignements

SIVOM d'Insertion
26 rue Voltaire
62410 Wingles
03.21.08.62.95

Les données présentées ci-dessous donnent une vision financière de la commune :

  • des finances qui répondent à une volonté et une dynamique municipale ;
  • un budget respectant un équilibre parfait entre ses recettes et ses dépenses ;
  • un budget garant du cadre de vie des Meurchinois.

Cliquez ci-desssous sur le compte-rendu souhaité :

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